L’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie marine et continentale
Les recherches de l’IMBE se structurent autour de 5 axes thématiques transverses et 8 équipes de recherche.
L’IMBE structure ses services communs opérationnels autour de 5 Pôles techniques.
La formation, c’est bien sur les formations dispensées à l’Université (L, M, D) mais aussi la formation par la recherche (stages)
La diffusion de nos résultats scientifiques est au cœur de notre mission : elle permet de partager et de rendre accessibles les avancées en recherche à un public élargi. Au-delà des publications dans des revues spécialisées, l’IMBE déploie de nombreux moyens pour vulgariser les connaissances et les rendre compréhensibles et attractives à des audiences diversifiées. Par des actions concrètes et des outils innovants, nous nous engageons à rapprocher la science de tous, afin d’établir un dialogue permanent entre les sciences, la recherche et l’ensemble de la population, notamment les plus jeunes.
Naturaliste, j’ai travaillé sur de nombreux types de taxons notamment les mammifères, les oiseaux et les arthropodes et cette orientation naturaliste m’a amené à vouloir travailler dans la recherche en écologie. J’ai décidé d’effectuer un master en écologie et j’ai rapidement été attiré par l’étude des interactions entre les organismes, ainsi que le fonctionnement des écosystèmes. Je fais actuellement une thèse à ce sujet au sein des parcs photovoltaïque pour mieux démontrer leur impact sur la biodiversité et améliorer les recommandations de gestion. Je travaille sur l’effet de différentes perturbations (Ombrage des panneaux solaires, herbivorie…) sur les organismes du sol, les plantes et les pollinisateurs.
Ma thèse s’inscrit dans un projet financé par l’ADEME et qui s’intitule REMEDE (REseaux d’interactions et Multifonctionnalités Ecologiques : Développement et validation de deux approches complémentaires d’intégration environnementale pour une énergie photovoltaïque vertueuse). Elle porte sur l’étude des interactions trophiques et des fonctions écologiques et ceci sur les centrales photovoltaïques afin de démontrer leur impact sur la biodiversité.
IMBE – UMR CNRS 7263 / IRD 237 / Aix Marseille Université / Avignon Université.
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