L’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie marine et continentale
Les recherches de l’IMBE se structurent autour de 5 axes thématiques transverses et 8 équipes de recherche.
L’IMBE structure ses services communs opérationnels autour de 5 Pôles techniques.
La formation, c’est bien sur les formations dispensées à l’Université (L, M, D) mais aussi la formation par la recherche (stages)
La diffusion de nos résultats scientifiques est au cœur de notre mission : elle permet de partager et de rendre accessibles les avancées en recherche à un public élargi. Au-delà des publications dans des revues spécialisées, l’IMBE déploie de nombreux moyens pour vulgariser les connaissances et les rendre compréhensibles et attractives à des audiences diversifiées. Par des actions concrètes et des outils innovants, nous nous engageons à rapprocher la science de tous, afin d’établir un dialogue permanent entre les sciences, la recherche et l’ensemble de la population, notamment les plus jeunes.
Mes domaines de recherche sont orientés vers l’écologie des communautés végétales, notamment les mécanismes d’interactions biotiques plantes – plantes et plantes – herbivores ainsi que les réponses de la végétation aux changements globaux (changement climatique, dépôts d’azote atmosphérique, changement d’utilisation des terres). J’accorde également une grande importance à la caractérisation et la description des communautés végétales et je me suis impliqué dans plusieurs études d’écologie de la restauration.
Mes approches sont centrées autour de l’observation et le suivi de la biodiversité et des écosystèmes, ainsi que l’expérimentation généralement in situ et avec une dimension biogéographique.
Je m’attache plus récemment à développer des études pluridisciplinaires pour la caractérisation des socioécosystèmes, intégrant les aspects anthropologiques ou sociaux.
– GLORIA – Mercantour. Suivi de la végétation alpine et caractérisation du microclimat.
– SAINT-OBS – thèse L. Leclerc. Mosaïques de refuges climatiques en montagne méditerranéenne.
– PEYRE – Maroc. Évolution temporelle de la végétation dans le Haut-Atlas.
– ECOPASTO. Effet des grands herbivores pour la gestion et la restauration des prairies humides.
– ICCARE – thèse S. Parra. Socioécosystèmes pastoraux d’Andalousie (Espagne).
– Thèse M. Aakairi. Socioécosystèmes du Haut-Atlas marocain.
IMBE – UMR CNRS 7263 / IRD 237 / Aix Marseille Université / Avignon Université.
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