L’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie marine et continentale
Les recherches de l’IMBE se structurent autour de 5 axes thématiques transverses et 8 équipes de recherche.
L’IMBE structure ses services communs opérationnels autour de 5 Pôles techniques.
La formation, c’est bien sur les formations dispensées à l’Université (L, M, D) mais aussi la formation par la recherche (stages)
La diffusion de nos résultats scientifiques est au cœur de notre mission : elle permet de partager et de rendre accessibles les avancées en recherche à un public élargi. Au-delà des publications dans des revues spécialisées, l’IMBE déploie de nombreux moyens pour vulgariser les connaissances et les rendre compréhensibles et attractives à des audiences diversifiées. Par des actions concrètes et des outils innovants, nous nous engageons à rapprocher la science de tous, afin d’établir un dialogue permanent entre les sciences, la recherche et l’ensemble de la population, notamment les plus jeunes.
Je suis doctorante en ethnoécologie à Aix-Marseille Université (IMBE/IRD) et à l’Université Cadi Ayyad de Marrakech. Ma recherche doctorale porte sur les relations réciproques entre sociétés et nature dans la vallée d’Ait Bouguemez (Haut Atlas, Maroc). Elle explore le rôle des femmes amazighes dans la gestion des paysages agro-sylvo-pastoraux, dans l’adaptation aux changements globaux et dans la transmission des savoirs locaux. Mon travail croise des approches écologiques (analyses floristiques, dynamique des habitats) et ethnobiologiques (groupes de discussion, entretiens, enquêtes), afin de mieux comprendre comment les pratiques de soin et les valeurs culturelles façonnent à la fois la conservation de la biodiversité et les stratégies locales d’adaptation au changement climatique.
Ma thèse (2023–2026) adopte une approche transdisciplinaire croisant écologie et ethnobiologie pour étudier les relations réciproques société–nature dans la vallée d’Ait Bouguemez (Haut Atlas, Maroc). Elle s’intéresse particulièrement au rôle des femmes amazighes et des communautés locales dans la gestion des paysages agro-sylvo-pastoraux, la conservation de la biodiversité et l’adaptation aux changements climatiques.