L’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie marine et continentale
Les recherches de l’IMBE se structurent autour de 5 axes thématiques transverses et 8 équipes de recherche.
L’IMBE structure ses services communs opérationnels autour de 5 Pôles techniques.
La formation, c’est bien sur les formations dispensées à l’Université (L, M, D) mais aussi la formation par la recherche (stages)
La diffusion de nos résultats scientifiques est au cœur de notre mission : elle permet de partager et de rendre accessibles les avancées en recherche à un public élargi. Au-delà des publications dans des revues spécialisées, l’IMBE déploie de nombreux moyens pour vulgariser les connaissances et les rendre compréhensibles et attractives à des audiences diversifiées. Par des actions concrètes et des outils innovants, nous nous engageons à rapprocher la science de tous, afin d’établir un dialogue permanent entre les sciences, la recherche et l’ensemble de la population, notamment les plus jeunes.

Mon projet de thèse a pour but de mieux comprendre l’occupation et l’exploitation des espaces de haute montagne au cours de l’Holocène. Pour cela, j’applique une approche couplée archéologique et paléoenvironnementale dans le massif des Ecrins, une zone particulièrement sensible à l’évolution des pratiques agropastorales dans le temps et aux changements climatiques. Je m’intéresse tout particulièrement aux charbons de bois des sites archéologiques et des sols dits pédologiques.
APALAC : étude interdisciplinaire (paléoécologie et archéologie) dans le Haut Champsaur visant à mieux comprendre l’impact des activités humaines sur les milieux de montagne