L’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie marine et continentale
Les recherches de l’IMBE se structurent autour de 5 axes thématiques transverses et 8 équipes de recherche.
L’IMBE structure ses services communs opérationnels autour de 5 Pôles techniques.
La formation, c’est bien sur les formations dispensées à l’Université (L, M, D) mais aussi la formation par la recherche (stages)
La diffusion de nos résultats scientifiques est au cœur de notre mission : elle permet de partager et de rendre accessibles les avancées en recherche à un public élargi. Au-delà des publications dans des revues spécialisées, l’IMBE déploie de nombreux moyens pour vulgariser les connaissances et les rendre compréhensibles et attractives à des audiences diversifiées. Par des actions concrètes et des outils innovants, nous nous engageons à rapprocher la science de tous, afin d’établir un dialogue permanent entre les sciences, la recherche et l’ensemble de la population, notamment les plus jeunes.
Après un doctorat en Génie des Procédés (Mines-Paris) et un post-doctorat à l’Université Nationale Autonome de Mexico, j’ai intégré l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD- ex ORSTOM) à Montpellier pour étudier la valorisation de sous produits agricoles (bagasse de canne à sucre, son de blé) par la culture de champignons filamenteux (fermentation en milieu solide). Cette thématique a été poursuivie à l’Université Autonome Métropolitaine (Mexico) en particulier pour la modélisation de la croissance fongique ainsi que pour la production d’enzymes et d’arômes, puis plus tard pour la dépollution de gaz contaminés par des molécules organiques. Cette période a donné lieu à des collaborations avec des entités de recherche latino-américaines (Brésil, Cuba, …). De retour en France, j’ai intégré l’Institut Méditerranéen d’Océanologie pour étudier la dégradation de molécules aromatiques par des bactéries hyper-thermophiles, puis la production anaérobie de bio-hydrogène.
Actuellement, j’étudie la production de biofertilisant à base de litière forestière et de sous produits agricoles fermentés (LiFoFer). Ce procédé empirique utilisé avec succès en Amérique Latine et en Asie reste mal connu. Avec mes partenaires de l’AMU, du Cirad et de l’association Terre et Humanisme (T&H), nous cherchons à caractériser la microbiologie et la biochimie de ce bio-produit, ainsi que d’évaluer son impact en maraichage et arboriculture en France et à Cuba.
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