Comment expliquer le maintien de populations végétales dans des régions hostiles à leur survie ?
Dans une publication parue dans Global Change Biology, des scientifiques de l’IMBE ont démontré que certains sites abritant des populations marginales pourraient être associés à des microrefuges.
Ces zones de faible surface caractérisées par des conditions microclimatiques favorables à la survie de populations en dehors de leur aire de répartition pourraient ainsi modérer les conséquences du changement climatique actuel.
Découvrez ces travaux sur le site de l’INEE